l'infime confession,
une lumière qui éclair l'exagone de ton esprit malicieux,
je me désarme seul contre l'érotisme du son de ta voix;
je puise une infime et délicate confession,
des films salées ,
sermentées d'un tissage d'argent ou mes doigts tiennent l'extrémité;
brusquement,l'amertume ce fait souffrance légère;
baigné de stupeur,mes yeux réclame le crépuscule;
et sous les cendres diformes des corails,
les éléments subsistent au éclairs damnés du ciel,
un nouveau continent cristalin glisse entre la tranquillité lumineuse d'une vie d'été;...
anne libellencre le 6 mai 08
Commentaires
ouais je me sens petit face à ta poésie . Superbe. Les mots sont choisis avec éloquence. Bravo Anne
jolie poeme...
tu es douée quand même, moi je ne saurais pas le faire;. bravo !!
Bonjour Anne
Beaucoup de passion dans se texte et d'élégance dans ses mots choisis ,beaucoup d'éloquence de ta plume qui glisse sur les méandres de la vie....
Texte qui en dis long.....
maintenant dodo lol.....
biz
cricri